de toutes ces heures sans fin dont tu ne feras rien de cet émoi fatal qui te rend las et mal m'as tu dit tous ces mots que je ne saurais maudire Est-ce le parfum de ta peau qui m'entraine vers le pire j'ai arrêté le temps de nos sentiments enlacés à moitié...

tous leurs mots m'indiffèrent je ne veux pas leur plaire qu'ils me jugent et donnent leçon le bonheur ne doit pas dire pardon ils se croient différents mais s'oublient trop souvent en croyant s'échapper avec leurs belles pensées il est bien trop facile...

dans cette ville fantôme devenue ton royaume dans les limbes de l'oubli qui se trouve aujourd'hui? tombé dans la calvaire des jours sans lumière et des nuits solitaires sans âme et somnifère arraché à ces draps où un parfum régna sur ce corps tourmenté...

tu recouvres ma peau d'un frisson de mystère pas un mot pas un geste et ne plus toucher terre ton regard vide et perdu a trop longtemps attendu les choses incertaines auxquelles tu ne crois plus étouffer cette flamme pour éviter la peine ou voir saigner...

ces regards qu'on n'oublie pas où les as tu cachés? ces mots qu'on ne dit pas où les as tu trouvés? dans cet océan d'images qui traversent le temps il reste un seul visage celui qui manque tant ces roulements de tambours dans le compte à rebours me rappellent...

tu es partie soudain et je n'ai su que faire de ce vent balançant des frissons dans l'air tous ces mots et ces gestes juste pour te plaire tout m'excède je n'ai pas su y faire la chaleur de ta voix ton émoi, ton visage, tout m'a séduit en toi je dérive...

de nos âmes colligées quand nous fûmes abouchés à cette nouvelle histoire on ne savait qui croire aux doutes parfois amers que ton parfum dans l'air chassera vers la mer pour les faire ainsi taire de noircir quelques feuilles pour écarter tes peurs enfin...

au risque de tout perdre choisis de suivre cette Phèdre emmène la sans l'éperdre un doux matin sur l'Erdre le temps des fleurs sera passé bientôt l'été va commencer avec son cortège de belles pensées et de nymphes parfumées par delà les verts chemins...

au risque de tout perdre choisis de suivre cette Phèdre emmène la sans l'éperdre un doux matin sur l'Erdre le temps des fleurs sera passé bientôt l'été va commencer avec son cortège de belles pensées et de nymphes parfumées par delà les verts chemins...

Ca serait comme une chanson qui viendrait plaquer ses accords au réveil un matin. Un mois de Mai, pourtant pas si loin, charrié par le courant sur la rivière de la vie d'un bateau qui a pris l'eau mais n'a jamais coulé. Nourri par une quête perpétuelle...